Si
ils reviennent chez nous c'est pour connaître un peu mieux notre
monde, si proche et pourtant si loin. S'ils reviennent encore c'est pour
nous
faire partager un petit bout de leur histoire aussi, nous faire goûter
à leur culture et à leur sens de la vie; pour échanger
sur nos valeurs communes... et les autres valeurs aussi.
Mais
Kouroudwe fait aussi partie intégrante d'un projet de développement
global et fort sérieux développé par l'association
Dia'sso. Apprenez à les connaître et vous les aimerez;
si vous les engagez vous les aiderez, et soyez bien certains que
vous en serez satisfaits.
Pour
lire l'intégralité du projet Kouroudwé, cliquez ici
Une
amitié vieille de six ans entre les membres du groupe Kouroudwe et
Greg, membre du groupe Sin Dya, ainsi que le respect que nous portons
à l'association Dia'sso,
le
tout associé à un projet de développement ambitieux mais qui sait conserver
des dimensins de taille humaine, ne pouvait nous laisser indifférents. Aussi
nous soutenons le Projet
Kouroudwe,
sur lequel vous trouverez sur cette page de plus amples détails.
Forts
de leur expérience acquise lors d'une première tournée
en France en 2003, le groupe Kouroudwe revient enfin, en 2005 sur le continent
européen. Composé de
6 musiciens
burkinabés, Kouroudwé propose en plus de leur répertoire
de créations, un répertoire standard représentatif des
musiques qu'ils jouent chaque semaine dans les cabarets de Bobodioulasso.
Soutenir
le projet Kouroudwe, c'est croire encore qu'un autre monde est possible,
c'est croire qu'un jour chacun pourra manger à sa faim, vivre libre, et
que tous
sans distinction de race, de couleur ou de religion pourront évoluer égaux
sur cette terre.
Soutenir
Kouroudwe c'est montrer que l'espoir existe.
Contacts:
- Contact général: Rodolphe Coulon: 06 75 44 37
99
- Pour la région toulousaine: Grégoire Viché:
06 23 14 96 10
- Pour la région sarthoise:
Surtout
lisez le projet Kouroudwe au format Pdf présenté par Dia'sso (Développement
Initiative Association, vous pourrez ainsi juger du sérieux de l'opération,
et de sa transparence
financière.
Quiconque a connu ou croisé ce N'Goani Folla réputé pour
sa capacité à
ambiancer les rues ou les cabarets bobolais, l'a pu voir dans une fête
ou sur une
scène, ne pourra oublier sa joie de vivre, sa simplicité et
son humilité.
46 ans c'est
l'âge
moyen auquel part l'Homme burkinabé (PNUD 1999). Cette photo
en hommage en son souvenir, pour qu'encore un peu, sa mémoire vive
et son visage demeure. Cet
hommage pour que l'on se souvienne que trop souvent d'illustres inconnus
passent au trépas, et à l'oubli bien vite.
Ils
reviennent en force et sont attendus avec impatience par une grande majorité des
20 000 personnes qui ont pu les voir en 2003, savourer leur énergie,
déguster leur musique en laissant tomber leur sueur à grosses
gouttes sur des pistes de danse souvent improvisées. Leur public,
ils ont su le râvir et souvent l'extasier.
Grégoire
Viché, au nom
de ceux aussi qui
ont pu connaître et apprécier
Idrissa Diawarra.
Idrissa Diawarra, mars 2003, fête de Pala.
Je profite de l'occasion qui m'est donné de rédiger cette page pour porter hommage à Idrissa Diawarra, cofondateur et co-compositeur du groupe Kouroudwe, et ami sincère. Diawarra nous a quitté en avril 2003 à l'âge de 46 ans, un mois avant qu'il puisse réaliser l'un de ses plus grands rêves: Connaître enfin l'Europe.